Vivre sans lui
Me voilà nomophobe. Je n’avais plus rien, il n’était plus là pour me sécher les yeux ; j’en étais condamnée à regarder tout droit dans le vide, toute seule, à défaut de le trouver, lui, a portée de main.
Me voilà nomophobe. Je n’avais plus rien, il n’était plus là pour me sécher les yeux ; j’en étais condamnée à regarder tout droit dans le vide, toute seule, à défaut de le trouver, lui, a portée de main.