Salut.
On se présente?

Sacha Clément, le jour j'exerce dans le marketing — Brevet fédéral comme écumoir — le soir je préside le Conseil général de mon village, une association de contemporains, je préside les sociétés locales du village et je coache une équipe de foot. Bilingue français-anglais, cinq années de vie aux USA m'ont fait appris à aimer la culture red white and blue — Washington DC, c'est ma ville après mon village de Champvent. Par passion du verbe, j'opère à intervalles irréguliers pour quelques quotidiens comme correspondant de presse — 24 Heures, Le Matin Dimanche, La Région Nord vaudois, notamment. Créer, organiser, mettre en place, dessiner et améliorer, avec la créativité en bandoulière, je crée des sites web pour des entreprises — un peu comme celui-ci. Ah, et je ne refuse jamais un apéro :-).

Le tout en clichés IG. 

Avec les mains on fait un cœur. Avec son phone on glisse des cœurs. Avec son cœur on offre tout: la vie, son âme, un sourire, son temps, sa main. Dump — Q3 #life #photodump
La nature, buste droit et épaulées franches; bon an mal a fait fi des aléas — facéties nuageuses et remontrances humaines. La fleur, droite en ses bottes, résurgence perpétuelle, émerveille les u
Il fut un temps, on fumait dans les avions. Il fut un temps, on fumait à son bureau, non pas qu’au bureau. Il fut un temps, ça smokait dans les bars, les lendemains de piste l’odeur de fumée froide nous faisait r&eacu
C’est au détour d’un chemin sans issue que se dresse parfois la beauté, l’inattendu; ce n’est que lorsqu’on n’attend rien hormis la plénitude du moment — bonjour, mindfulness —, que
Elle est cette carapace qui dissimule la bête, entre-ouverte elle devient pernicieuse, l’œil point alors, presque effrayant, il regarde le cueilleur droit dans les yeux, le sermonne, à moins qu’il ne le supplie, pleureu
En ligne de mire: la vie. Au-delà des méandres attendus, faire ses propres découvertes, les bonheurs palpables, les réjouissances idoines, ces moments de partage si précieux. Et puis vivre de cette accoutumance &agr
Crayon, je t'aime. On peut écrire sur tout et n'importe quoi: peu importe. On peut écrire un magnifique poème, un mauvais poème: qu'importe. Parfois, il faut avoir l'outrecuidance de revenir au crayon, au stylo, &agrav
La montagne, mosaïque si typique, rupestre des fois, sylvestre parfois; lieu d’amoncellement à répétition. Pour les skieurs: chaussures, clip; souliers, clip; lunettes, serrées; à bâtons rompus on d
40 ans, il parait. Parait que ça change rien, parait que ça change tout; pour les uns c’est le début de la fin, pour les autres c’est le début de tout. Finalement qu’importe: rien ne sert de compter les années, faut juste faire
What time is it? Shoe time. Rocking the Jordan shoes: 3, 4, 6, 11, all the way. #jordanfamily
Le flygskam te turlupine? Reste chez toi, c’est sympa aussi. #holysmokes #theroofisonfire
L’agriculteur. Travailleur de l’ombre, travailleur du matin, travailleur labeur, travailleur le dimanche, travailleur infatigable, travailleur intransigeant, travailleur insatiable, travailleur pour notre demain.
Promesse faite à soi-même: revenir fort. Ce sera six mois peut-être plus, le temps importe peu, le cheminement encore moins. Se fixer un objectif oui, échouer non. #Achille
Le café. Pour la quidam, sa dopamine, son dopant; chaque matin c’est plusieurs salves, les doses augmentent au gré des doses de travail. Si l’on était sportif, le breuvage serait interdit - mais dope-t-il réell
Les coupes ne sont que récompense, de l’amitié qui cimente le sport d’équipe. Des moments de partage, inoubliables. #teamwork
Prendre un peu de temps pour soi, deux minutes de répit c’est trois fois rien, le reste peut attendre; rêvasser et digresser, tout ce qu’il faut savoir s’offrir, parfois.
Faire sa course matinale, le bruit des voitures soustrait, né le son du vent qui bruit, du ruisseau qui serpente, de l'air qui fuit, ce que jamais rien n'échancre. C'est alors le silence plein. Et le bonheur visuel idoine.
« Ahhhh! » crie-t-il, corps et âme, joie, à chaque jour sa découverte, candeur m’as-tu vu, les expériences de vie, on la croque, cette vie; on dévore et on engloutit. La vie. Le summum. Le