La balance. Après usage, celui qui la remet à zéro n'assume rien; les autres assument ce poids de (mé)forme.

L'habit ne fait pas le moine, mais il y contribue.

Il est là, situé tout juste à quelques mètres de la sortie de l'autoroute. Autour de lui, tout et son contraire. Il est le point névralgique, on y passe pourtant sans prêter attention à ses atours, on s'ébahit plutôt de ses alentours.

On peut écrire pour être lu. Ou écrire pour le plaisir. A la fin, c'est toujours le lecteur qui décide.

Because I'm (not) Happy. Dans le sport, se répéter pour atteindre les sommités. Dans la musique, répéter pour atteindre la médiocrité.

Peter Brabeck, il est le Nestlé incarné.  Bertrand Cottet l'a immortalisé.  Un faciès qui en dit long.  Au moins autant que le bras.

Parfois, repasser dans une rue, 20 ans plus tard, ça brasse les souvenirs.

Sur une photo, pourquoi diable faut-il constamment sourire?  Vive la jumpologie de Philippe Halsman.

On peut rêver douillet et tomber dans l’extase: gagner à la loterie, la Ligue des Champions, atteindre le paradis avec son fantasme inaccessible; tout ça pour se réveiller ensuite la queue entre les jambes

Melanie Chappuis, journaliste au quotidien Le Temps. Prix de la Relève 2012, elle propose une chronique intitulée "Dans la tête de". Un livre y est désormais consacré. Décryptage. 

C'est l'histoire du verre à moitié plein ou à moitié vide.  A moins que ça ne soit l'inverse.  La bonne attitude est celle qui nous habite au quotidien.

"Y'a pas mort d'homme."  Bien souvent, l'expression est galvaudée.  Mais lorsqu'elle frappe au sens propre, elle gifle l'esprit.  Et réduit ses modestes tracasseries au néant.

L'autre soir, un ami me l'avoue sans rechigner: "tes textes et articles, je ne les lis pas" Alors, faut-il écrire pour être lu, ou écrire pour se faire plaisir?

Dans la salle de bal, on fait des pas et on échange des regards.  Ca flirte.  Ca se bécotte.  Ca s'entrelace.  Ca s'amourache. 

Peyton Manning, Adrian Peterson ou JJ Watt.  Pour le quidam européen, des noms qui sonnent creux. Aux Etats-Unis, ce sont pourtant des demi-Dieux.

Mexico City. La ville semble mouvante, sable sans fin, vacuité du mouvement; en point de mire rien, sinon tout.  Pablo Lopez Mûz a ainsi figé un tsunami de béton.

Le poème de la mort. Par Alphonse de Lamartine. Une éclaircie de mots couchés sur un thème sombre, celui de la mort. Une prose si belle pour un thème si laid.